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Les lys de ton clitoris

rivière

Maître Poète
#1
Les lys de ton clitoris

Mes escarpins résonnent
dans les rues de Paris,
je viens vers toi,


n’entends-tu pas
en ce matin triomphant
les battements de mon coeur


qui
ne bat
que pour toi ?


Je me souviens de tes gémissements,
ma Douce,
mon Amante,


lorsque j’ai honoré voilà peu
avec ma lippe les lys de ton clitoris
avant de partir


dessus
l’
innocence du crépuscule.


Ma robe de satin
volette
parmi le soleil du silence,


mes bas de soie
luisent
sous le soleil de mai.


Je me
rapproche
de toi.


Mes seins fiers et lourds,
libérés de toute contrainte,
bougent au fil de ma marche,


mes mamelons durcissent
à ton évocation,
je suis devant ton hôtel maintenant,


j’entre,
je monte un à un
chacun des degrés de ton escalier,


tu m’ouvres ta porte,
souriante et belle,
comme au premier jour de notre amour,


tu m’étreins,
et bientôt,
étendues sur ta couche,


nous savourons, nues comme le vent des forêts,
des heures durant
les appas de la Jouissance !


Sophie Rivière
 
#2
Rivière en nerve


Mes lèvres et mes paumes ont requis le continent de ta Grâce
A trois si nous tentions la disgrâce


Ce soir, mon âme,
allongée, nue, sur ta couche,
j’ai découvert ta chair


Cette soirée infâme
Sous cette dernière douche
Ta peau toujours trop claire



cachée
sous les plis de ta robe de lin,
et je t’ai possédée,


Damnées
Dans ses draps de satin un câlin
J'ai déjà le prix accrédité


alors que retentissaient
derrière ta porte,
les strophes de l’hiver,


Tant que tu gémissait
quand je te porte
surtout à l'envers


la caravelle du Désir
s’est emparée de moi,
j’ai soulevé les tercets de l’ombre,


Mes fantasmes en sbires
se sont acculés en toi

Je te soulève en nombre

mes lèvres et mes paumes
ont requis
le continent de ta Grâce,


mes pommes dans tes lèvres
d'un désir si exquis
ce sentiment qui t'embrasse


j’ai déployé
les étendards de tes seins fiers et lourds
qui somnolaient,


J'ai arrosé
Les vigiles de tes seins de velours
qui s'exclamaient


mes baisers,
farouches,
les ont réveillés,


Mon mortier
d'escarmouche
ta enlisé


puis,
ma langue, curieuse,
est descendue au centre de ton corps,


Jouis
dans une étreinte furieuse
Ta fantaisie dans un dernier accord



et
a entrouvert les lys de ton clitoris
que j’ai titillé des heures durant


Guet
toujours d’affût dans ta fleur de lys
me dirigeant assailli un autre charmant


tandis que
deux de mes doigts
ont pénétré les cierges de ton vagin


Un cri de queue
qui dans une autre voie
Ton martelé d'un trop dur engin


jusqu’
l’
isthme de ta matrice,


Animatrice
de mes vices
j'explose ce calice





jusqu’
à
ce que tes gémissements impudiques


Imprudente
Amante
au ciel tu deviens démente



réveillent
la
clarté du désir,


Éveillant
Surtout
Le désir de mon gland



jusqu’à
ce
que jaillissent les fontaines de ta cyprine


Déjà
en retard
déjà ailleurs je te sublime de ma pine


dont
nous partageons
chacun de ses grains.


Don
je te fais surtout de mes grains
ailleurs toujours d'entre tes reins


Tu reposes, maintenant,
alanguie,
contre l’urne de mes hanches,


Je dispose comme un amant
quand tu jouis
du nectar des mes glands


avant de connaître à nouveau,
demain à l’aurore,
les hymnes de la Jouissance féminine si pure et si belle !


Sans dire un mots
La main du porc
entre les cuisses de ses jouvencelles


Sophie Rivière
Leo
 

rivière

Maître Poète
#3
Rivière en nerve


Mes lèvres et mes paumes ont requis le continent de ta Grâce
A trois si nous tentions la disgrâce


Ce soir, mon âme,
allongée, nue, sur ta couche,
j’ai découvert ta chair


Cette soirée infâme
Sous cette dernière douche
Ta peau toujours trop claire



cachée
sous les plis de ta robe de lin,
et je t’ai possédée,


Damnées
Dans ses draps de satin un câlin
J'ai déjà le prix accrédité


alors que retentissaient
derrière ta porte,
les strophes de l’hiver,


Tant que tu gémissait
quand je te porte
surtout à l'envers


la caravelle du Désir
s’est emparée de moi,
j’ai soulevé les tercets de l’ombre,


Mes fantasmes en sbires
se sont acculés en toi

Je te soulève en nombre

mes lèvres et mes paumes
ont requis
le continent de ta Grâce,


mes pommes dans tes lèvres
d'un désir si exquis
ce sentiment qui t'embrasse


j’ai déployé
les étendards de tes seins fiers et lourds
qui somnolaient,


J'ai arrosé
Les vigiles de tes seins de velours
qui s'exclamaient


mes baisers,
farouches,
les ont réveillés,


Mon mortier
d'escarmouche
ta enlisé


puis,
ma langue, curieuse,
est descendue au centre de ton corps,


Jouis
dans une étreinte furieuse
Ta fantaisie dans un dernier accord



et
a entrouvert les lys de ton clitoris
que j’ai titillé des heures durant


Guet
toujours d’affût dans ta fleur de lys
me dirigeant assailli un autre charmant


tandis que
deux de mes doigts
ont pénétré les cierges de ton vagin


Un cri de queue
qui dans une autre voie
Ton martelé d'un trop dur engin


jusqu’
l’
isthme de ta matrice,


Animatrice
de mes vices
j'explose ce calice





jusqu’
à
ce que tes gémissements impudiques


Imprudente
Amante
au ciel tu deviens démente



réveillent
la
clarté du désir,


Éveillant
Surtout
Le désir de mon gland



jusqu’à
ce
que jaillissent les fontaines de ta cyprine


Déjà
en retard
déjà ailleurs je te sublime de ma pine


dont
nous partageons
chacun de ses grains.


Don
je te fais surtout de mes grains
ailleurs toujours d'entre tes reins


Tu reposes, maintenant,
alanguie,
contre l’urne de mes hanches,


Je dispose comme un amant
quand tu jouis
du nectar des mes glands


avant de connaître à nouveau,
demain à l’aurore,
les hymnes de la Jouissance féminine si pure et si belle !


Sans dire un mots
La main du porc
entre les cuisses de ses jouvencelles


Sophie Rivière
Leo

Je ne sais que dire devant votre pseudo-imitation, si ce n'est que j'ai relevé ça et là des fautes d'orthographe, ainsi "Rivière en verve", devient-il "Rivière en nerve", etc.,
une méconnaissance de la nature féminine, et un apparent machisme.

Soucieuse de ne pas entamer des polémiques stériles, mes remarques s'arrêteront ici.

Sophie Rivière
 
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